Construction (*): | |
Année de construction : | 1843. |
Matériaux : | maçonnerie. |
Architecte : | - |
Entrepreneur : | Maison Prieau de Bordeaux. |
Couleur : | blanche. |
Hauteur : | - |
Forme : | maison-phare. |
Nombre d'étages : | un niveau. |
Nombre de marches : | 63. |
Habitation : | oui. |
Eclairage (*): | |
Optique : | fixe du 4° ordre. |
Lampe : | - |
Puissance : | - |
Code : | - |
Couleur : | rouge puis blanche. |
Visibilité : | - |
Hauteur de la lampe : | 18 m. |
Hauteur sur mer : | 22 m. |
Mise en service : | 15 mars 1845. |
Electrification : | - |
Automatisation : | - |
Désactivé : | déclassé en 1871. |
Depuis l’antiquité, l’estuaire de la Gironde voit un trafic important. Le commerce est important avec le port de Bordeaux.
Des amers et des feux sont nécessaires. Parmi ceux-ci, un arbre appelé «arbre de Richard» signalait un banc de sable. Mais au fil du temps, cet arbre ne suffisait plus et en plus il avait disparu. Sans doute abattu par une tempête. Le banc de sable est remplacé par une bouée en 1831. Mais il s’est avéré qu’elle n’est pas suffisante.
La construction du phare est décidée en 1843. Il est mis en service le 15 mars 1845.
La construction est une maison-phare composé d’un seul niveau. Celui-ci est réservé au logement du gardien.
La tour, située en son centre, fait 18 m de haut. La lanterne contient une optique fixe du 4° ordre.
Ce phare n’a jamais été électrifié car, en 1871, il est déclaré inefficace et il est remplacé par un autre phare.
Cette maison-phare va être abandonnée. Elle est vendue à des particuliers le 5 mai 1957. Mais tout est laissé assez vite à l’abandon et le site est vandalisé.
Le point de départ de sa nouvelle jeunesse se situe en 1984. Un groupe de jeunes veux le réhabiliter mais la commune n’est pas propriétaire. Le maire décide de racheter le domaine.
Les travaux commencent en septembre 1991. L’Association Communale du Phare de Richard est créée le 30 juillet 1992. Le phare est rénové.
Le but de l’Association est de promouvoir le développement touristique et culturel de Jau-Dignac et Loirac.
Un musée est ouvert. Il présente l’histoire du phare et différentes collections d’objets sur la pêche et l’ostréiculture. D’autres sujets sont également présentés.
Le phare est accessible et il se visite.
Pour les heures d’ouverture : voir sur le site.