Construction (*): | |
Année de construction : | 1868-1869. |
Matériaux : | pierres. |
Architecte : | Rousseau (ingénieur). |
Entrepreneur : | Martin Christophe et Jean-Marie. |
Couleur : | blanche. |
Hauteur : | 14,5 m. |
Forme : | maison phare, tour carrée. |
Nombre d'étages : | 1 niveau + combles. |
Nombre de marches : | 52. |
Habitation : | oui. |
Eclairage (*): | |
Optique : | horizon, focale de 0 ,18 m. |
Lampe : | halogène. |
Puissance : | 100 W. |
Code : | Oc(3) - période 12s. |
Couleur : | secteurs blancs et rouges. |
Visibilité : | 7 milles ( R ) et 10 milles ( W ). |
Hauteur de la lampe : | 14 m. |
Hauteur sur mer : | 18,3 m. |
Mise en service : | 15 septembre 1869. |
Electrification : | 1951. |
Automatisation : | 2003. |
Désactivé : | - |
De nombreux naufrages ont lieu à cet endroit de la côte. IL est donc décidé de construire un phare sur cette pointe. De plus, il fait le relais entre le phare de l’île de Batz et le phare de l’île Vierge.
Cet ouvrage est une maison phare avec une tourelle carrée sur son pignon. La maison servant d’habitation au gardien.
La construction débute début 1868 et la mise en service du feu se fait le 15 septembre 1869.
Le feu est fixe avec des secteurs blancs et rouges. Comme pour les autres phares, l’alimentation du feu se fait à l’huile végétale lors du démarrage. Plus tard, le feu passe à la vapeur de pétrole. Il est électrifié en 1951 puis automatisé en 2003.
La dernière gardienne, Marie Paule, occupe cette fonction depuis 1968.
Depuis l’automatisation, elle réside toujours dans son phare.
Il fait partie des quelques phares qui n’ont pas été détruits lors de la seconde guerre.
Le phare est accessible mais il ne se visite pas.