Construction (*): | |
Année de construction : | 1830, 1840 et 1892. |
Matériaux : | maçonnerie lisse. |
Architecte : | - |
Entrepreneur : | - |
Couleur : | blanche, bandes noires. |
Hauteur : | 43, 30 m. |
Forme : | tour cylindrique avec base tronconique. |
Nombre d'étages : | - |
Nombre de marches : | 210. |
Habitation : | oui. |
Eclairage (*): | |
Optique : | 0.70m de focale à 4 panneaux au ¼. |
Lampe : | halogène. |
Puissance : | 650 W. |
Code : | Fl.(2)W. - période 10s. |
Couleur : | blanche. |
Visibilité : | 23 milles marins (42 km). |
Hauteur de la lampe : | 38, 70 m. |
Hauteur sur mer : | 41 m. |
Mise en service : | 3 avril 1892. |
Electrification : | 13 octobre 1972. |
Automatisation : | 1999. |
Désactivé : | - |
Plusieurs phares ont signalé cette partie sud de la Camargue.
Le premier feu date de 1830. C’est une simple tour en bois de 15 m de haut.
Le second est une tour cylindrique de 36,50 m. En 1840, le feu fixe blanc de premier ordre se trouve à 420 m de la mer. Mais celle-ci monte et, en 1864, il ne se trouve plus qu’à 190 m. Il est finalement détruit en 1892 par l’avancée de la mer.
C’est durant cette année qu’un troisième phare est construit à 1200 m en arrière de celui-ci.
Il a une hauteur de 43,30 m. La maçonnerie est peinte en blanc avec 6 bandes noires.
Une optique d’une focale de 0,70 m avec 4 panneaux est installée.
Le combustible est de l’huile végétale, puis en 1875 de l’huile minérale. Enfin, en 1892, de la vapeur de pétrole.
Il est endommagé en 1944, il est remis en état entre 1947 et 1950.
Il est équipé d’un aérogénérateur en 1972.
Son automatisation arrive en 1999, le dernier gardien quitte le phare en 2004.
Le phare est accessible mais dans une zone privée. Il ne se visite pas.