Construction (*): | |
Année de construction : | 1906-1908. |
Matériaux : | fonte. |
Architecte : | - |
Entrepreneur : | Steel Concrete Company. |
Couleur : | blanche. |
Hauteur : | 17 m. |
Forme : | tour cylindrique. |
Nombre d'étages : | - |
Nombre de marches : | - |
Habitation : | oui. |
Eclairage (*): | |
Optique : | Fresnel, troisième ordre. |
Lampe : | - |
Puissance : | - |
Code : | Fl.(3)W. - période 27 s. |
Couleur : | blanche. |
Visibilité : | 20 milles. |
Hauteur de la lampe : | 17 m. |
Hauteur sur mer : | 44.5 m. |
Mise en service : | 1908. |
Electrification : | - |
Automatisation : | - |
Désactivé : | - |
Le phare du Cap de la Madeleine se trouve à l’embouchure du Saint Laurent. La largeur du fleuve à cet endroit est d’environ 120 km.
Le premier phare a été mis en service en aout 1871. La construction en bois, de base hexagonale, avait une hauteur de 16 m.
L’optique était constituée d’un système catoptrique rotatif avec des réflecteurs en cuivre.
Comme pour le phare de la Pointe de Mitis, une nouvelle optique est trop lourde. La construction d’un nouveau phare s’impose.
Le second phare et phare actuel est ainsi construit entre 1906 et 1908. Il est en fonte et de même conception que celui de Matane. Le premier phare a été détruit après la mise en service du second phare.
La lentille de Fresnel du 3° ordre est fabriquée par BBT. Le feu est alimenté en vapeur de pétrole.
Une nouvelle maison pour le gardien et une pour l’assistant ont également été construites.
L’ancienne maison a été détruite en 1956
Les gardiens ont quitté lors de l’automatisation du phare. Une balise moderne a été installée mais l’optique d’origine est restée en place.
Le feu est toujours entretenu par la municipalité qui gère le site.
Le phare est accessible et il se visite, uniquement durant la saison touristique.
L’Association touristique de Rivière-la-Madeleine gère le site qui abrite un centre touristique, un musée, un restaurant et une installation de recherche qui étudie la pêche au saumon sur la rivière Madeleine.