Construction (*): | |
Année de construction : | 1913 - 1919. |
Matériaux : | - |
Architecte : | - |
Entrepreneur : | - |
Couleur : | noire, une bande blanche. |
Hauteur : | 15 m ou 18 m. |
Forme : | octogonale. |
Nombre d'étages : | - |
Nombre de marches : | - |
Habitation : | non. |
Eclairage (*): | |
Optique : | secteurs blancs et rouges. |
Lampe : | - |
Puissance : | - |
Code : | Fl.W.R. – période 4 s. |
Couleur : | blanche et rouge. |
Visibilité : | 9 (W) et 6 (R) milles. |
Hauteur de la lampe : | - |
Hauteur sur mer : | 13 m. |
Mise en service : | octobre 1919. |
Electrification : | - |
Automatisation : | - |
Désactivé : | - |
L’accroissement du trafic maritime vers le port de La Rochelle impose une signalisation au Sud-Ouest de l’île de Ré. Que ce soit pour le passage par le Pertuis d’Antioche que par le Pertuis Breton.
La tourelle de Lavardin (1841) et le phare du Chauveau (1842) sont construits à cet effet.
Malgré la présence du phare du Chauveau, de nombreux échouages ont lieu sur les récifs de Chanchardon. Une demande est faite le 9 novembre 1905 pour signaler cette zone.
La construction d’un nouveau feu s’impose mais les finances ne le permettent pas.
Le service de La Rochelle ont l’idée d’échouer un caisson par 5 m de fond puis d’y monter une tourelle.
Le travail commence en 1913 mais la guerre freine considérablement le projet.
En octobre 1919, le feu à occultation avec des secteurs blancs et rouges est mis en service.
Le 14 juillet 1969, un aérogénérateur est mis en service. Le feu est à éclat avec les mêmes secteurs.
Le feu est accessible en bateau mais il ne se visite pas.