Construction (*): | |
Année de construction : | 1865. |
Matériaux : | bois. |
Architecte : | Pairier. |
Entrepreneur : | - |
Couleur : | noire et blanche. |
Hauteur : | - |
Forme : | 2 triangles. |
Nombre d'étages : | - |
Nombre de marches : | - |
Habitation : | - |
Eclairage (*): | |
Optique : | - |
Lampe : | - |
Puissance : | - |
Code : | - |
Couleur : | - |
Visibilité : | - |
Hauteur de la lampe : | - |
Hauteur sur mer : | - |
Mise en service : | - |
Electrification : | - |
Automatisation : | - |
Désactivé : | - |
Le navigateur, logeant la côte landaise de jour et, surtout par mauvais temps, a très difficile de se repérer. La côte est un long bandeau de pins et de dunes, très peu d’habitations.
Il y bien les phares qui jalonnent cette côte mais les distances sont grandes.
On a par exemple 69 km entre le phare de Biarritz et le phare de Conti, 60 km entre le phare de Contis et le phare du Cap Ferret, 55 km entre le phare du Cap ferret et le phare d’ Hourtin.
Ils sont donc peu visibles de jour dans ces mauvaises conditions.
Dés 1780, le problème est posé. C’est en 1853 que l’ingénieur Pairier propose de placer des amers sur les dunes. Chaque amer aura une forme différente. Ils seront placés entre les phares cités ci avant et construits entre 1830 et 1863. Ce qui donnera une distance d’environ 25 km entre chaque repère.
La frise de 1868 reprise ci-dessous montre les phares et les amers visibles le long de cette côte.
L’amer d’Huchet est installé en 1865. Elle est réalisée en bois et représente deux triangles de 7 m de base et 6 m de haut. La distance entre ces triangles est de 2 m. Le triangle supérieur est peint en noir, l’inférieur est blanc.
En 1890, le bois s’étant dégradé, l’amer est remplacé par un nouveau mais métallique et de même forme.
En 2002, cet amer est inscrit comme monument historique. C’est la dernière balise de ce genre qui subsiste sur cette côte. Un peu de peinture lui ferait du bien.
L’amer est accessible.