Construction (*): | |
Année de construction : | - |
Matériaux : | pierre. |
Architecte : | - |
Entrepreneur : | - |
Couleur : | - |
Hauteur : | - |
Forme : | - |
Nombre d'étages : | - |
Nombre de marches : | - |
Habitation : | non. |
Eclairage (*): | |
Optique : | - |
Lampe : | - |
Puissance : | - |
Code : | Iso.G. - période 4 s. |
Couleur : | verte. |
Visibilité : | 14 milles. |
Hauteur de la lampe : | - |
Hauteur sur mer : | - |
Mise en service : | - |
Electrification : | - |
Automatisation : | - |
Désactivé : | - |
Une carte de 1642 montre que la cite de Collioure possédait deux fanaux.
Le fanal qui nous intéresse se trouve au sommet d’une tour, à l’entrée du port.
Lorsque Vauban décide de fortifier la ville en 1672, il détruit la vieille ville et son église. La population est mécontente et il transforme la tour en église. Le fanal est remplacé par un clocher et il devient l'église Notre-Dame-des-Anges.
Le port est mal protégé lors de tempêtes. Les bateaux doivent être tirés sur la plage.
En 1881, il est demandé de construire un mur entre la terre ferme et l’îlot St Vincent. Mur qui sera prolongé vers le Sud Est.
La signalisation n’étant plus bonne, on place un feu sur ce mur mais les marins le confondent avec les feux de Port Vendre
En 1886, un feu blanc fixe est installé au sommet d’un poteau. Ce feu est détruit à la fin de la seconde guerre.
Finalement une belle ferronnerie est placée au sommet de la tour en bout du musoir. Elle supporte une feu vert.
Une rénovation a débutée en octobre 2022.
Le phare est accessible mais il ne se visite pas.