Pays : France | Région : Languedoc-Roussillon |
Feu actif. |
Construction (*): | |
Année de construction : | 1673 à 1700. |
Matériaux : | maçonnerie. |
Architecte : | - |
Entrepreneur : | - |
Couleur : | - |
Hauteur : | 18 m. |
Forme : | tour carrée avec deux renforts. |
Nombre d'étages : | - |
Nombre de marches : | - |
Habitation : | oui. |
Eclairage (*): | |
Optique : | - |
Lampe : | - |
Puissance : | - |
Code : | Oc.G.- période 4 s. |
Couleur : | verte. |
Visibilité : | 8 milles. |
Hauteur de la lampe : | 18 m. |
Hauteur sur mer : | 29 m. |
Mise en service : | - |
Electrification : | 1929. |
Automatisation : | - |
Désactivé : | - |
La redoute du Fanal est une fortification réalisée par Vauban entre 1673 et 1700. Celle-ci doit protéger la côte. Un feu est installé dans la tour pour signaler l’entrée du port.
Le port est complètement remanié entre 1770 et 1785. Durant cette période, le feu a dû être remanié.
Un document datant du 25 octobre 1830, dresse un inventaire complet du phare et de son état.
Les réflecteurs en fer blanc doivent être replacés par des réflecteurs paraboliques en cuivre. Il mentionne qu’il faut utiliser l’huile de colza et qu’il faut avoir un logement pour le gardien et un magasin près du feu.
Le 1e février 1843, un feu fixe blanc sur une tourelle carrée de 18m de hauteur est installé.
En 1859, les militaires veulent déplacer le fanal. Mais les responsables refusent. Ce fanal a trop d’importance car il sert de feu d’atterrage lorsque le phare du Cap Béar a la tête dans la brume.
L’aménagement du logement du gardien n’est réalisé qu’en 1855.
La signalisation est remplacée le 1e aout 1884 lorsque le feu métallique sur le môle est mis en service. Il devient feu clignotant.
Le 16 novembre 1912, il passe feu à occultations blanches toutes les 4 secondes.
Actuellement, il est de couleur verte.
Une page est entièrement dédiée à l’intérieur de ce phare et aux photos de l’optique.
Le phare n’est pas accessible et il ne se visite pas.