Construction (*): | |
Année de construction : | 1848 et 1950. |
Matériaux : | béton. |
Architecte : | - |
Entrepreneur : | Jacques Favennec. |
Couleur : | blanche. |
Hauteur : | 39 m. |
Forme : | cylindrique. |
Nombre d'étages : | - |
Nombre de marches : | - |
Habitation : | oui. |
Eclairage (*): | |
Optique : | - |
Lampe : | - |
Puissance : | - |
Code : | Oc (3)W. - période 12 s. |
Couleur : | blanche. |
Visibilité : | 14 milles. |
Hauteur de la lampe : | 38,91 m. |
Hauteur sur mer : | 48 m. |
Mise en service : | 15 décembre 1848 et 1950. |
Electrification : | 1932. |
Automatisation : | 1993. |
Désactivé : | - |
Le premier feu, inauguré le 15 décembre 1848, est une tourelle de 9 m de haut. Sa fonction est de signaler l'entrée de l'Odet.
Afin d'améliorer le balisage, un nouveau phare est construit et mis en service en 1887. Il a été légèrement déplacé afin de servir de feu arrière à la fois au feu du Coq et du phare de Sainte Marine. Ces deux derniers sont situés de part et d'autre de l'embouchure de l'Odet.
Les trois feux sont synchronisés et sa hauteur est de 39 m. Soit près de 51 m au dessus du niveau de la mer.
A la fin de la seconde guerre, le 10 août 1944, le phare est détruit à mi hauteur. Il est reconstruit à l'identique et remis en service en 1950.
Son nom vient d'une pyramide en pierre peinte en blanc qui a servi d'alignement.
Le phare est accessible mais ne se visite pas.